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Artépo (Paris, France)
Avec Stanislas Roquette
Mise en scène Denis Guénoun
Durée 60 minutes
en Français avec surtitres russes
« Mis en scène avec finesse par Denis Guénoun, le jeune Stanislas Roquette a fait du livre XI des Confessions de saint Augustin, traduit par Frédéric Boyer, un éblouissant moment de jubilation spirituelle et théâtrale ! (…/…) L’interprétation de ce jeune artiste, d’une intelligence et d’une sensibilité profondes, donne à ce moment grave une légèreté grisante. (…/…) Il porte ce moment hors du temps. Il dit, il danse le texte, il apporte son éclairage personnel à la pensée de saint Augustin, simplement en s’en faisant le poète porte-feu. Rare. »
Armelle Héliot, « Feux d’été » et « Retour de saint Augustin… », Le Figaro, 01/07/2010 et 03/01/2014
« Denis Guénoun reprend à Chaillot son adaptation de saint Augustin, mêlant absurde et mysticisme. (…/…) J’ai trouvé ce spectacle formidable, et très élégant : un moment d’acteur qui donne infiniment à entendre et à réfléchir, et de façon très simple. La façon qu’il a d’aborder le texte de saint Augustin est tout à fait exemplaire. (…/…) C’est l’exercice du doute que l’acteur fait remarquablement entendre. (…/…) Stanislas Roquette ne va pas jusqu’à trépigner, mais il a en lui l’obstination de l’enfant qu’aucune réponse ne satisfait et qui, sans cesse, revient à la question. Et pour peu que l’on adhère alors, on ne le lâche plus. (…/…) Ou comment passer des « Psaumes » à un sketch de Raymond Devos, tout en suivant à la lettre le texte de saint Augustin. C’est d’autant plus réussi que rien ne s’installe. Et que la musique vient relayer les mots. »
René Solis, « Donner le bon Dieu avec « Confessions » », Libération, 09/01/2014, et « La Dispute », France Culture, 06/01/2014
« Retour à Chaillot de ce duo de choc, qui avait ravi les spectateurs d’Artaud-Barrault, pour une variation sur le thème du temps. (…/…) Avec Stanislas Roquette, comédien génial, au plus haut de sa forme. »
Hugues Le Tanneur (Les Inrocks), Plaquette de saison du Théâtre National de Chaillot, 2013-3014
18+
Angelin Preljocaj est un des représentants de la pléiade de brillants choréographes français apparus dans les années 80.
Le 16 novembre, vous aurez l’unique occasion de voir le documentaire d’Olivier Assayas sur le travail du célèbre choréographe. Anjelin Preljocaj présentera le film lui-même et animera une discussion avec les spectateurs après la projection. A la Nouvelle scéne du Théâtre Alexandrinski ; entrée gratuite.
Le 17 novembre sur la scène du Théâtre Alexandrinsky le festival Diagilev P.S. organise une soirée-gala à l’honneur d’Angelin Preljocaj et 30ème anniversaire de sa fameuse troupe. Les artistes de la troupe d’Angelin Preljocaj et du ballet de l’Opéra de Paris interpréteront les oeuvres émblématiques du choréographe français légendaire.
Né en France en 1957, de parents albanais, Angelin Preljocaj débute des études de danse classique avant de se tourner vers la danse contemporaine auprès de Karin Waehner. En 1980 il part pour New York afin de travailler avec Zena Rommett et Merce Cunningham, puis continue ses études en France auprès de la choréographe américaine Viola Farber et du français Quentin Rouillier. Il rejoint ensuite Dominique Bagouet jusqu’à la création de sa propre compagnie en 1984. Il a choréographié 48 pièces, du solo aux grandes formes.
Angelin Preljocaj s’associe régulièrement avec d’autres artistes parmi lesquels Enki Bilal (Roméo et Juliette, 1990), Goran Vejvoda (Paysage après la bataille, 1997), Air (Near Life Experience, 2003), Granular Synthesis (N, 2004), Fabrice Hyber (Les 4 saisons, 2005), Karlheinz Stockhausen (Eldorado – Sonntags Abschied, 2007), Jean Paul Gauthier (Blanche Neige, 2008), Constance Guisset (Le funambule, 2009, Les Nuits, 2013), Claude Lévêque (Siddharta, 2010), Laurent Garnier et Subodh Gupta (Suivront mille ans de calme, 2010), Laurent Mauvignier (Ce que j’appelle oubli, 2012), Azzedine Alaïa et Natacha Atlas (Les Nuits, 2013).
Ses créations sont reprises au répertoire de nombreuses compagnies, dont il reçoit également les commandes, c’est le cas notamment de La Scala de Milan, du New York City Ballet et du ballet de l’Opéra national de Paris. Il a également collaboré à plusieurs réalisations cinématographiques mettant en scène ses choréographies.
Au cours de sa carrière, il a reçu plusieurs reconaissances parmi lesquelles le Grand Prix National de la Danse décerné par le Ministère de la culture en 1992, le Benois de la danse pour le Parc en 1995, le Bessie Award pour Annonciation en 1997, Les Victoires de la Musique pour Roméo et Juliette en 1997, le Globe de Cristal pour Blanche Neige en 2009. Il est Officiers des Arts et des Lettres, Chevalier de la Légion d’Honneur et a été nommé Officier de l’ordre du Mérite en 2006. Il a reçu le Prix Sammuel H. Scripps de l’American Dance Festival pour l’ensemble de son oeuvre en 2014.
Aujourd’hui composé de 24 danseurs permanents, le Ballet Preljocaj est installé depuis octobre 2006 au Pavillon Noir à Aix-en-Provence, un lieu entièrement dédié à la danse dont Agelin Preljocaj est le directeur artistique.
Denis Lavant / François R. Cambuzat / Gianna Greco (France)
Dans le cadre du festival « SOLO »