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Créé en 2003, l’ensemble russe Pratum ntegrum se consacre à l’interprétation du répertoire baroque et classique sur des instruments d’époque.
Sa démarche bénéficie d’un grand écho parmi le public.
Direction artistique : Pavel Serbine
Soliste invité : Pierre Hantaï, clavecin
Au programme : Dauvergne, Leclerc, Rameau, Bach
source : institutfrancais.ru
La chorale des enfants de l’église Saint Louis vous convie à son concert d’été « Happy »
Au programme: gospel, pop, country and soul music
Organisé par Aurore Creach Paredes
L’association ASALEV (Association pour le soutien de l’Art Lyrique Et Visuel)
organise un concert de Mélodies Russes
Le contre-ténor Guillaume BOURIENNE accompagné au Piano par Mikhaïl MOROZOV
Première exposition sur l’art africain présentée dans un musée national en Russie, FLEUVE CONGO, Arts d’Afrique centrale poursuit sa tournée internationale au musée des Beaux-Arts Pouchkine de Moscou.
Présentée à Paris en 2010, à Singapour en 2011, à Shangai en 2013, puis au Mexique en 2015, l’exposition FLEUVE CONGO, Arts d’Afrique centrale présente en Russie une sélection exceptionnelle de 190 chefs-d’oeuvre. En écho aux collections permanentes du musée Pouchkine, quelques chefs-d’oeuvre de leur collection d’art moderne seront également présentés dans l’exposition à partir du 17/05/16.
Véritable voyage initiatique menant le visiteur des forêts du Nord aux savanes du Sud, l’exposition démontre les liens existant entre les oeuvres produites dans les régions bordant le majestueux fleuve Congo, par diverses populations de langues bantoues. Derrière la variété des masques et sculptures fang, hemba, kwélé ou kota, l’exposition met en lumière les oeuvres majeures de l’Afrique Centrale, dans leur conception, leurs structures et les liens artistiques qui les rapprochent. Produite par le musée du quai Branly, l’exposition FLEUVE CONGO, Arts d’Afrique centrale a été présentée avec succès à l’Asian Civilisation Museum de Singapour en 2011, au musée de Shanghai en 2013, au Musée National de Corée en 2013, et au musée national d’Anthropologie de Mexico en 2015
Commissaire de l’exposition : François Neyt, Président de l’Alliance Inter- Monastères, membre de l’académie royale des Sciences d’Outre-Mer en Belgique
Collaboration scientifique : Aurélien Gaborit, Responsable de collection Afrique au musée du quai Branly.
Source
http://www.institutfrancais.ru/

Les textes, selon leurs modalités d’existence (publication, lecture), prennent chez Pennequin des formes différentes. La plupart des écrits, de par leur longueur et leur rythme ne conviennent pas pour une lecture. D’autres sont transformés pour s’adapter au cadre de l’oralisation : « les lectures, c’est une écriture ».
Pour Pennequin, il y a une certaine équivalence entre l’écriture, la performance et l’improvisation. Écrire est une forme d’improvisation : « quand on écrit, on déclenche un truc et on sait pas où ça va ».
La lecture performée, considérée comme un mode d’écriture, est ainsi appréhendée comme une forme d’improvisation. Cette dernière est considérée comme une lecture aléatoire, guidée par la boucle musicale. Son cadre spectaculaire construit une situation anormale, parasite le mouvement d’écriture en provoquant un stress chez le performeur-écrivain : c’est « comme si on écrivait mais avec cinquante personnes en train de nous regarder ».
La lecture performée de son texte « Le petit mot » met en scène ce malaise de lire, cette obsession du physique propre à la poésie sonore : la langue est tirée, les yeux sortis de leurs orbites. La performance devient ainsi une façon de jouer avec le cadre imposé du spectacle.
Le passage de l’écrit vers l’oral se fait dans les deux sens (des textes composés pour l’oral peuvent exister aussi en version écrite) et suppose à chaque fois une réadaptation. Par exemple, les versions orales de « Tous les matins, je me marre » et d’« Un jour », ont été rallongées pour la forme écrite.
Parfois, l’écriture se fait au magnétophone, sans phrase écrite préalable. Le texte sonore ainsi créé, est donné à entendre lors d’une performance ou est diffusé sur internet. Une version écrite, dans ce cadre, peut naître de l’oral : Pennequin, parfois, recopie intégralement une improvisation.