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Vesna est un duo franco-russe de Veronika Bulycheva, chanteuse et guitariste, et de Stéphanie Acquette, chanteuse et bassiste. Au tournant de la musique world et du folk, les deux musiciennes emmènent la langue russe sur des rythmes chauds et suaves, derrière lesquels pointent la douce mélancolie slave.
Обворожительная творческая пара, русско-французский дуэт композитора, певицы и гитаристки Вероники БУЛЫЧЕВОЙ и певицы и гитаристки Стефани АКЕТТ существует с 2012 года. В их музыкальном содружестве русская и французская культуры встретились и зазвучали в двухголосный унисон на языке любви.
В дуэте Вероники Булычевой и Стефани Акетт широкая русская душа встретилась с легким французским шармом: именно так воспринимается слияние мощного голоса и эмоциональной манеры исполнения Вероники и мягкого тембра и деликатного стиля Стефани.
Программа «Cherchez la Femme!/Ищите Женщину!» насыщена и разнообразна. Исполнительницы непринужденно переходят с русского языка на французский, от одного музыкального стиля – к другому (в творческом пространстве дуэта есть место и блюзу, и босанове, и романсу, и старинной балладе, и французской эстраде).
La chorale des enfants de l’église Saint Louis vous convie à son concert d’été « Happy »
Au programme: gospel, pop, country and soul music
Organisé par Aurore Creach Paredes
Concert du groupe Baden Baden le 3 juillet à 20h00 au club Powerhaouse (7/4, rue Goncharnaïa)
Transformer l’essai. En rugby comme en musique, c’est souvent le plus difficile. Combien d’artistes révélés par leur formidable coup d’essai n’ont-ils honoré leurs promesses, tenu la distance ? Deux ans après Coline (2012), premier effort salué par la critique, conjuguant idéalement une mélomanie anglo-saxonne avec une écriture bilingue déjà personnelle, Baden Baden a décidé de “plonger dans le bruit”, pour reprendre le titre d’ouverture du second album. Ce titre n’est d’ailleurs pas innocent puisqu’il annonce un disque entièrement écrit en français. Fini, donc, le savant bilinguisme qui fit aussi la réputation du groupe, découvert par l’immense chanson Anyone en 2010 et capable de fulgurances pop comme Évidemment.
Pour passer ce cap dans sa discographie, le trio fondateur de Baden Baden a décidé de lâcher prise. Comme l’explique son chanteur et parolier Éric Javelle, “l’écriture dans ma langue maternelle s’est faite naturellement”, au fur et à mesure que les compositions voyaient le jour, entre Paris et Gatteville-le-Phare (Manche) où l’intéressé a éprouvé le besoin de larguer les amarres, loin des tumultes de la vie citadine, pour écrire – face à la mer – la deuxième moitié de Mille éclairs. Il est d’ailleurs beaucoup question d’écumes, de vagues de nuit et de vents contraires dans les paroles. “Je connais les couleurs qui se marient à toi”, comme une évidence exposée dans le single J’ai plongé dans le bruit. Le groupe parisien appartient à cette génération spontanée qui participe à l’effervescence pop hexagonale depuis le début de la décennie.
Déjà, sur son premier LP, Baden Baden mariait la langue d’Alain Souchon (dont il reprit La Vie ne vaut rien) avec les sonorités rêveuses de Grandaddy période The Sophtware Slump (2001). Cette fois, en décidant de confier le mixage à l’Anglais Barny Barnicott, au curriculum vitæ imposant (Arctic Monkeys, Bombay Bicycle Club, Cloud Control), le triumvirat a paradoxalement déplacé le curseur outre-Manche pour un album écrit dans sa langue maternelle. Autant pour se frotter à une pointure anglo-saxonne que pour s’ouvrir à de nouvelles perspectives. “En écoutant les propositions de mixes de Barny, nous étions surpris par certains de ses partis pris. Sa manière de multiplier les chœurs sur quelques titres nous a immédiatement séduits”, dit le guitariste Julien Lardé. Effectivement, un morceau comme À tes côtés semble réverbérer de partout, servi par un texte idoine : “Mes envies me devancent”.
Plus cohérent et plus affranchi, Mille éclairs renferme onze plages qui prolongent certaines thématiques propres à l’univers de Baden Baden : la passion amoureuse (L’Échappée), le regard de l’autre (Hivers), la fuite en avant (J’ai plongé dans le bruit), les mots bleus (Dis leur), la tristesse contemporaine (M.a.c.)… Quelques formules font mouche dès la première écoute : “Je regarde le monde/Mais le monde ne me voit pas”, “D’origine insulaire/J’ai connu l’éphémère” ou encore “En sursis, moi je suis un hiver quotidien”. Les musiciens ont aussi exploré deux passages instrumentaux (Finalmente au mitan, Criminel en conclusion), qui rappellent les bandes-son contemplatives et désertiques de Mogwai.
Au final, le coup de foudre est immédiat sur Mille éclairs, plongeant l’auditeur dans un disque à la fois plus homogène et plus compact, au charme insidieux, à l’addiction vénéneuse. Dépassant toutes les attentes suscitées par Coline, Baden Baden transforme donc magnifiquement l’essai et s’offre ainsi des lendemains qui chantent. À (re)découvrir absolument.
Prix: 400 roubles au Dewar’s Powerhouse (7/4, rue Goncharnaïa) , 500 roubles – le jour du concert
Information complémentaire:
https://www.facebook.com/events/1447897448844853/
https://vk.com/badendph
Pour sa première présentation d’envergure en Russie, l’artiste français Laurent Pernot projette de concevoir l’espace de son exposition comme une partition musicale, immersive et romanesque, rythmique et contemplative.
Dans une atmosphère indéfinie, entre aurore et crépuscule, des œuvres existantes et produites spécialement pour l’exposition contribueront à déployer un thème central dans sa démarche : LE TEMPS, l’écoulement et la perception du temps, le temps comme quatrième dimension et potentiel de fiction, le continuum espace-temps, le temps comme véhicule de la mémoire, le temps comme force énigmatique et comme expérience de l’infini. Intrigantes et parfois spectaculaire, l’œuvre de l’artiste est protéiforme. Nous y rencontrerons des images projetées et animées, des présences fantomatiques, des particules de lumières, des photographies et des écritures mises à l’épreuve du temps, des objets figés dans la glace, des figures et des paysages en mouvement.
Plus que le temps en tant que tel, ce qui est souligné est sa charge sensible et poétique, sa capacité à émerveiller et à produire des récits inattendus, précisément comme ces nuages qui se languissent dans le ciel et dont on s’applique à y reconnaître des formes évanescentes. Ces différents aspects contribuent sans doute à un ressenti de l’ordre d’un temps magique, celui que l’on retrouve dans les contes et les mythes anciens, ou celui qui imprègne nos rêves et nos souvenirs d’enfant.
Julien Verhaeghe.
A l’ombre de Marcel Proust et d’Andrei Tarkovski, dans cette zone nébuleuse du passé où les cosmologistes et les poètes russes se rencontrent, l’exposition « Une fraction d’infini » nous invitera à méditer sur notre présence éphémère et miraculeuse dans ce monde, reliant l’infiniment proche et l’infiniment lointain, des zones grises de la conscience aux mystères de nos origines.
Dans le contexte de la Biennale d’art contemporain de Moscou et du Festival Territoria, avec la complicité du MMOMA et de l’Institut français de Russie, un espace du musée sera consacré à une collaboration entre l’artiste Laurent Pernot et la chorégraphe Anna Abalikhina. Le public sera invité à plusieurs reprises pour assister à une performance originale évolutive, conçue pour interagir dans l’espace et le temps de l’exposition.
Partenaire général du projet « Fondation Mikhail Prokhorov »
Horaires: 12.00 – 20.00 (12.00-21.00 le jeudi)
Le 23 octobre l’Institut Français ouvrira ses portes à tous les amateurs de musique et de photographie françaises et présentera une exposition de portraits des personnages les plus remarquables de la scène française réalisés par le photographe Robin.
Robin commence sa carrière au début des années 1990 en conjuguant son amour de la musique et sa passion pour la photographie : Depeche Mode, Suede, Radiohead, Placebo ou encore Iggy Pop lui font confiance. Son projet personnel Anges et Démons (1995) est retenu pour la double couverture de Noël du New Musical Express avec Blur et Oasis. Première grande exposition parisienne et visibilité internationale. Il photographie par la suite les artistes marquants de ces dernières années : Adele, Amy Winehouse, Arctic Monkeys, Coldplay, Gossip, Robbie Williams, The Killers, The White Stripes, etc. Il réalise également les photos des pochettes de disques : Mylène Farmer, Cali, Duffy, Thierry Amiel, Henri Salvador, Roberto Alagna et des couvertures de livre : Léonard Cohen, Brigitte Fontaine.
Moscou sera sa quinzième exposition photographique.
La Russie a toujours partagé des liens forts avec la chanson française et les artistes francophones aiment s’y produire. Le public apprécie notamment les œuvres des grands classiques, tels que Joe Dassin, Serge Gainsbourg, Edith Piaf, Gilbert Bécaud, Charles Aznavour ainsi que des artistes plus contemporains : Mylène Farmer, Stromae, Vanessa Paradis, M83, Yann Tiersen…
Cette exposition présentera des artistes déjà connus, reconnus en Russie et s’illuminera de nouveaux talents, source de découverte. Les visiteurs pourront y apprécier des portraits d’artistes comme Indochine, Dominique A, Emmanuel Moire, Henri Salvador, Maxime le Forestier, Brigitte Fontaine, -M- et bien d’autres, encore peu connus mais tout aussi talentueux.
Chaque portrait sera accompagné d’un descriptif soulignant l’importance et le rôle de l’artiste dans la culture musicale française et surtout de l’intérêt qu’il représente ou pourrait représenter pour les Russes.
Seront également proposés d’autres projets réalisés par Robin ainsi que les originaux des affiches, calendriers et supports musicaux (éditions limitées).
L’exposition « Musicographie » se déroulera du 23 octobre au 13 novembre 2015 à l’Institut Français. Le photographe Robin sera présent à Moscou pour le vernissage et partagera son expérience, en tant que professionnel, lors d’une conférence dans les locaux de l’Institut Français de Moscou le samedi 24 octobre de 17h00 à 19h00.
Entrée libre à l’exposition et pour la participation à la conférence.
Une conférence universitaire sera annoncée ultérieurement.
Les jeunes cinéastes russes, engagés pour le cinéma d’auteur.
Les moyens alternatifs de diffusion: projections, rencontres et master-classe.
Dans le cadre de la 4ème semaine des Arts à l’Université Paris 8 Saint-Denis – Vincennes aura lieu une rencontre dédiée aux jeunes réalisateurs indépendants russes dont le cinéma n’est pas du tout présent sur le marché du cinéma actuel en France. Les projections présentent des films indépendants, abordant des thèmes universels, non politiques, intéressants du point de vue du langage cinématographique.
AU PROGRAMME :
à 14h00 Projections
à 15h00 Table ronde autour du jeune cinéma russe
à 16h00 Master-classe sur le crowdfunding au cinéma
à 17h00 Buffet de rencontre
POURQUOI?
1) pour voir des court métrages d’exclusivité;
2) pour participez à la table ronde sur le financement du cinéma indépendant dans le cinéma russe, avec la participation de: Sergueï Tutine (réalisateur, président du festival panrusse des court-métrages « Artkino »), Taya Zoubova (réalisatrice), Sergueï Losev (producteur) et Maria Antonova (productrice);
3) pour tout apprendre sur les secrets de crowdfunding au cinéma durant le master-classe mené par les auteurs dont le projet de crowdfunding était le plus réussi parmi les court-métrages russes : Taya Zoubova et Sergueï Losev !
Projections :
– Les jambes. Un atavisme, réal. M. Mestetski, 2011
– Le coucher de soleil, réal. A. Annenski, 2015 (Concours officiel du Festival International de Court mtérage de Clermont Ferrand 2016)
– Mon petit poisson, réal. Taya Zoubova, 2015
Entrée libre sous réserve des places disponibles. Réservez vos places par e-mail :contact@kixt.online
Pour plus d’information visitez : http://kixt.online/index.php/53-2016-03-06-17-29-31

En avant-première et en présence du réalisateur
Avec Mathieu Amalric, Nicole Garcia, Karin Viard, Gilles Lellouche
Avec Golshifteh Farahani, Vincent Macaigne, Louis Garrel
Avec Ibrahim Ahmed, Abel Jafri, Toulou Kiki
En avant-première
Avec Catherine Frot, André Marcon, Michel Fau
Avec Mircea Diaconu, Gheorghe Dinică, Mara Nicolescu
Bouboule de Bruno Deville, 2014, 84 min. (Suisse)
Avec David Thielemans, Swann Arlaud, Julie Ferrier
Avec Mathieu Amalric, Nicole Garcia, Karin Viard, Gilles Lellouche
19h30 Félix et Meira de Maxime Giroux, 2014, 105 min. (Canada)
Avec Martin Dubreuil, Hadas Yaron, Luzer Twersky , Anne-Élisabeth Bossé
Les films sont présentés en version originale avec des sous-titres russes
Cinéma Illusion
Kotelnitcheskaïa naberezhnaïa, 1/15
+7(495) 915-43-53
+7 (495) 915-43-39
www.illuzion-cinema.ru
L’Association des Jeunes pour une Grande Europe a le plaisir de vous inviter à l’Institut d’Etat des Relations Internationales de Moscou – Université du MGIMO
Moscou, Prospekt Vernadskogo 76, New Building ;
le vendredi 13 mai pour une Conférence “Format Normandie”
– à la recherche de solutions réalistes au conflit en Ukraine
– à 16h30 dans la salle 423
suivie d’un concert de L’ORCHESTRE D’UNE GRANDE EUROPE POUR LA PAIX
- des musiciens russes, ukrainiens, allemands et français jouent sous la direction d’une chef d’orchestre géorgienne pour promouvoir la Paix en Europe
- à 19h dans l’Atrium du Nouveau Bâtiment
Wolfgang A. Mozart : Concerto pour Piano n°9
Pyotr Tchaïkovski : Sérénade pour Cordes
Entrée gratuite sur inscription
Inscriptions ouvertes jusqu’au jeudi 12 mai à 12h
Pour s’enregistrer, merci d’écrire à l’adresse
gepomoscou@gmail.com
Arachnée est la jeune tisseuse qui tenta de défier la grande déesse Minerve et fut transformée par cette dernière en araignée.
Pour Julien Salaud, Arachnée symbolise au mieux l’artiste appelé à renouer les fils qui relient l’homme à son environnement, autrement dit, à reconstruire son écologie.
Dans le cadre de ses études universitaires en biochimie et ethnologie, Julien Salaud est parti à l’exploration de la faune sauvage en Guyane. Il s’est lié d’amitié avec les Wayanas, ce qui l’a poussé à revoir profondément son rapport au monde et à se consacrer à des pratiques artistiques.
Julien Salaud travaille avec des animaux empaillés. Il les recouvre avec des fils d’araignée, comme s’il voulait y capturer les regards des spectateurs, les inviter à la méditation, au long démêlage du noeud d’images. Ces fils nous rappellent l’aura du mystère qui émane des corps d’animaux. Ou bien des cocons avec des corps intermittents à l’intérieur. Et ces innombrables réseaux de lignes et de traits gravés qui se superposent aux figures des parois préhistoriques ornées.
La nyctalopie, qui est la capacité de voir dans le noir, est un autre thème récurrent de son oeuvre. Il tourne ses vidéos tournées en lumière noire avec de la toile d’araignée UV-sensible. En lumière noire, le corps disparaît dans la pénombre. Seuls les fils blancs, images des mouvements de l’esprit, sont visibles.
Rencontre sur Facebook et Vk
1er juin : ouverture au public
Dans le cadre du Kronfest, festival international des arts écologiques de Kronstadt
Du 13 juin au 13 juillet : Sébastien Thomazo, un autre participant français du Kronfest
Avec le soutien de l’antenne Nord-Ouest du Centre national d’art contemporain, de l’Association des chasseurs et de la Chambre de commerce de la ville de Kronstadt